Différentes allures d’entraînement :

Il convient de le prendre à titre indicatif car les pourcentages varient suivant le niveau de l’athlète (débutant, moyen ou confirmé). De plus, ils diffèrent selon la distance courue et le niveau de l’athlète.

 

  • Le footing de récupération ou « retour au calme » ou échauffement : allure facile inférieure à 70% VMA. On doit être capable de tenir une conversation et ne pas être essoufflé.
  • Le seuil aérobie (70-80% VMA) : course en aisance respiratoire avec une intensité moyenne
  • La capacité aérobie (75-85%VMA) : C’est surtout une référence pour l’allure utile marathon.
  • Le seuil anaérobie (80-90%VMA) : allure semi-marathon, maintien d’une course prolongée à un rythme soutenu.
  • La vitesse maximale aérobie (VMA) : vitesse de travail à laquelle la consommation d’oxygène est à son maximum. On essaye de la déterminer avec les différents tests de VMA.
  • La capacité anaérobie lactique (90-130% VMA) : vitesse spécifique pour le demi-fond long (1500m)
  • La puissance anaérobie alactique : vitesse maximale pour les sprints d’environ 7s.

Lors de mon prochain article, je mettrai en corrélation les vitesses et les distances suivant l’objectif de travail.